Étiquettes : 2017, 50 ans, célébrer, montagne, mouvement intrinsèque, poussée intérieure, sommet, voeux
Entourée de personnes chères à mon cœur et faisant l’objet d’attentions particulières de leur part, j’ai récemment eu le bonheur de célébrer mes 50 ans… de jeunesse!
Certains âges représentent des passages plus significatifs que d’autres. Pour moi, celui-ci correspond à quelque chose de très stimulant, alors que je ressens si fortement la poussée intérieure de m’ouvrir encore plus grand à l’expression de mon mouvement créateur. Amplifiée par l’énergie du 1 (2+0+1+7) de cette nouvelle année marquant le début d’un nouveau cycle, je sens qu’il est crucial pour moi d’honorer maintenant ce puissant mouvement intrinsèque, sans plus laisser place à quelconques entraves que ce soit. Car devant l’immensité de l’inconnu, je sais si bien que les peurs, les doutes et les inconforts de tout acabit qui surgissent ne me révèlent que mes propres résistances. J’ai appris aussi qu’il me suffit simplement de les traverser dans la joie du chemin et de l’apprentissage à venir. Particulièrement initiatiques à ces égards, les dernières années furent fort révélatrices pour moi.
C’est possiblement ce que ma sœur ainée a su détecter quelque part en moi en m’écrivant ces mots qui me parlent si justement et que je vous partage : « À 50 ans, on peut se retrouver à flanc de montagne, avec d’un côté le chemin parcouru et de l’autre le sentier qui mène au sommet. C’est un endroit privilégié pour apprécier le paysage derrière soi avant de poursuivre. »
Quelle belle perspective, n’est-ce pas ?
Pour chacun et chacune, je fais ce vœux que l’année 2017 vous propulse dans votre mouvement créateur, droit devant!
ROSE ta vie!
Mylène Coulombe
Quelle phrase pertinente et belle pour cet âge que les femmes redoutent souvent. Je l’attends sans peur car je sais au fond de moi que ce sera un beau passage. Ces dernières années de la quarantaine sont difficiles. Entre deux rives, nous ne sommes plus de jeunes femmes et nous avons peut être du mal à le réaliser. Mais le corps nous le rappelle et enfin l’on peut se consacrer à ce passage. Un bel âge, oui, j’en suis sûre ! Merci Mylène. Carole.
Merci Carole pour votre partage et votre réflexion empreints de sérénité et aussi de fraîcheur. Je constate effectivement un décalage entre l’âge de mon cœur et celui de mon corps avec les années qui passent. Et je pense à mon défunt papa qui disait qu’en dedans, on ne vieillit pas. Il avait bien raison!
Que 2017 vous soit douce à l’approche de votre cinquantaine!
Mylène