Parlons d’amour !

En ce mois de la Saint-Valentin, parlons d’amour et trouvons lui un sens plus profond, plus sacré !

Les plus beaux messages que je connaisse à propos de l’amour se trouvent dans le livre Le manuscrit de Marie-Madeleine, de Tom Kenyon et Judi Sion (Éditions Ariane). Je vous en partage quelques extraits :

« La relation amoureuse sacrée exige une honnêteté sans faille, envers soi-même et avec son partenaire. Au lieu de dissimuler nos cartes, nous les découvrons sans ambages. Nos espoirs, nos craintes, nos pensées mesquines et jalouses, nos machinations – tout est dévoilé à la lumière, aux yeux de notre partenaire. Et il doit en faire de même. Cela ne peut fonctionner si on se réserve mentalement une porte de sortie pour fuir. »

« Quand les partenaires s’avouent mutuellement leur vérité, un élément stimulant entre dans la dynamique. L’honnêteté affective donne lieu à l’intuition psychologique. Et cette intuition permet d’espérer qu’il y ait conscience. »

« Si vous vous engagez sur cette voie, sachez qu’il n’existe pas de manuel. Il n’y a que très peu d’instructions disponibles. La voie spirituelle est typiquement un chemin de solitude. Et même si ceux qui vivent une relation sacrée ont besoin de moments de solitude, quelque chose est différent. Ils ont consenti à parcourir ensemble le sentier vers la divinité, côte à côte, de par les paradis et les enfers, franchissant les sommets heureux, où tout est soudainement limpide, et les vallées ténébreuses de mort psychologique où il est difficile de voir même ses propres pas dans la pénombre. Et pourtant, dans l’obscurité de l’ignorance, une force primale s’élève peu à peu. Elle exige un type inédit de sainte Trinité – trois éléments requis pour parachever son œuvre suprême : la confiance mutuelle, l’honnêteté affective et la considération pour le bien-aimé, la bien-aimée. »

Joëlle


4 thoughts on “Parlons d’amour !

  1. Un merveilleux propos qui me conforte et me réconforte, décrivant si justement la relation amoureuse pleinement épanouissante que je «sais» possible et à laquelle j’aspire. Suis-je exigeante? Certainement. Mais pas trop. Juste assez! Merci Joëlle!

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