Dans une approche de la santé qui tient compte des valeurs du Féminin sacré, on privilégiera l’usage des plantes pour se soigner.
Dans son livre, Le Féminin sacré actualisé, Lise Côté fait mention de la maca, une racine poussant dans les Andes péruviennes, qui soulage les désagréments liés à la ménopause. Voici une sélection de plantes aux vertus médicinales axée sur la santé au féminin :
L’achillée millefeuille C’est son action contre les douleurs pelviennes et abdominales et sur le syndrome prémenstruel qui lui vaut sa place dans les soins gynécologiques. On peut la consommer en gélules, en teinture mère et tout simplement en infusion.
La mélisse Son parfum doux citronné la rend facile et agréable à utiliser en tisane. On fait appel à elle pour ses propriétés apaisantes du système nerveux et digestif. Pour la femme, c’est une alliée intéressante, car elle calme les dysménorrhées (règles douloureuses).
L’hamamélis C’est la plante du système veineux, elle tonifie les parois vasculaires par vasoconstriction. C’est aussi un grand remède antihémorragique, reconnu aussi en cas d’insuffisance veineuse et de varices, qui touchent particulièrement les femmes.
La prêle Sa forte teneur en silice et autres minéraux en fait un reminéralisant de choix pour les femmes, notamment en période de ménopause. Son action diurétique la rend également utile en cas d’infection des voies urinaires. On la consomme généralement sous forme de gélules.
La sauge La sauge sclarée et la sauge officinale ont toutes les deux des propriétés oestrogène-like. Pour cette raison, elles sont particulièrement adaptées à la puberté et à la ménopause, accompagnant ainsi les grandes étapes de la vie d’une femme en lui procurant le plein d’énergie.
L’actée à grappe noire Elle est originaire de l’est du continent nord-américain et a été utilisée par la médecine amérindienne pour ses propriétés antalgique et antispasmodique de la sphère génitale féminine.
Le dong quai ou l’angélique chinoise Voilà le remède de la médecine traditionnelle chinoise utilisé depuis des siècles pour traiter le syndrome prémenstruel et la ménopause.
Joëlle
Source : lepoint.fr
